L’affiche est dévoilée, et le moins qu’on puisse dire c’est qu’elle en jette mais surtout qu’elle est à elle seule un véritable hommage à l’univers de la culture japonaise.
Pour les références géographiques on retrouve l’imposant et le majestueux Mont Fuji en bas au centre, surplombant une ville futuriste, on ne peut voir qu’un hommage aux cités modernes du Japon où la population ne dort jamais.
Autour du personnage, on remarque de nombreux écrans extra-plats et tactiles, suspendus en l’air, une profusion d’écrans intelligents annonçant un futur nano technologique, interactif et pourquoi pas tridimensionnel. Une manette de jeu playstation, un bouton de croix directionnelle utilisé pour l’occasion en guise de barrette, un joystick, un bouton d’arcade pris par les mains mécaniques du personnage entouré d’un Câble USB.
Le personnage résume à peu près les fantasmes et attirances des japonais. Le personnage est une fille cyborg sexy sans être provocante, elle a des cheveux colorés, des lunettes, un maquillage bariolé, son visage est serti de yeux verts irréels le tout dans un style kawaii mais artificiel. Son habit reste simple, une robe de collégienne japonaise, mais représente bien l’image de la femme enfant. Ces jambes sont en métal, deux branches de métal qui ressemble fortement aux membres postérieurs des mécas japonais bipède. Pour les mains, on trouve des horribles mains multicolores robotiques et caoutchouteuses dont certaines créatures prototypes sont munies.
Le TGS annonce de la nouveauté : « le Jeu rentre dans une nouvelle étape »
En un mot, une vrai réussite pour ma part. Dans un style typiquement pop culture.