…Pour vivre, ils doivent d’abord mourir…
Enfin, voici notre critique de « The Expendables » écrit et réalisé par Sylvester Stallone, un petit retour en arrière s’impose, peu après John Rambo Sly à en projet de réunir toutes les stars des action movie des 80/90s pour un film d’action bien bourrin, testostéroné à mort.
Un groupe de mercenaires, les « Expendables », est envoyé par la CIA en Amérique du Sud pour renverser et exécuter un dictateur qui a semé le chaos durant les vingt dernières années.
Plusieurs acteurs du film avaient déjà joué ensemble, nous retrouvons Dolph Lungren (Drago dans Rocky IV), Mickey Rourke qui a partagé l’affiche de Get Carter avec Stallone et Eric Roberts vu dans « L’Expert » avec Sly.
Mickey Rourke et Eric Roberts ont également joué ensemble dans « Le Pape de Greenwich Village » de 1984 et «Spun» en 2002.
«The Expendables» marque la troisième collaboration de Jet Li et Jason Statham après The One (2001) et Rogue : L’Ultime Affrontement (2007).
Kurt Russell, Jackie Chan, Steven Seagal, Chuck Norris et Jean-Claude Van Damme ont refusé de jouer dans le film, JCVD aurait refusé le rôle de Gunnar Jensen (Dolph Lungren) en raison d’une scène où il devait perdre un combat face à Jet Li.
Danny Trejo devait être de la partie mais il dût décliner l’offre pour tourner Machete.
Le personnage de Hale Caesar interprété par Terry Crews a été proposer à Wesley Snipes, Forest Whitaker et 50 Cent.
On notera la présence de David Zayas (Angel Batista dans la série Dexter) dans le rôle du général Garza.
Le film est une réussite, il respecte les codes des action movies issus des années 80-90 sans ralentit de caméra ou effet spéciaux à outrance, la violence est crue par son authenticité. L’humour « bateau » est là, un scénario simple et efficace, il y a quelques lenteurs mais la présence de tous ce beau monde nous fait vite oublier les petits points négatifs du film, on se demande pourquoi personne n’a eu l’idée de réunir autant de tête d’affiche issus des films d’action, et la fameuse scène déjà culte, qui ne dure que quelques secondes, entre le trio Willis, Stallone et Schwarzenegger, on le redit quitte à se répéter : Mais pourquoi aucun réalisateur n’a pensé à l’époque réunir Sly et Schwarzy ?
Lors de la rencontre entre le légendaire soldat Rambo et le terrible Terminator, les deux compères se lance des piques, il est question que Trench souhaitait devenir président, ce qui n’est pas sans rappeler Demolition Man ou Stallone apprend qu’Arnold Schwarzenegger a été président des États-Unis grâce à un nouvel amendement et dans Last Action Hero la vedette de Terminator 2 n’est autre que Sylvester Stallone.
Une suite devrait voir le jour avec de nouvelles têtes au casting…
Huxley : Ca fait un certain temps maintenant que je me passionne pour vos exploits. J’ai d’ailleurs visionné des reportages d’époque à la fondation Schwarzenegger ! Je me souviens de la fois où vous avez pris ces…
Spartan : Attendez ! La fondation Schwarzenegger ?
Huxley : Oui la fondation du président Schwarzenegger. Ce n’était pas un acteur quand vous…
Spartan : Me dites pas qu’il a été président ?
Huxley : Si. N’étant pas natif du pays il n’aurait pas dû l’être mais sa popularité était telle qu’un 61e amendement a été voté…
Spartan : … Ohhh j’veux pas le savoir… pfff président ?!
Danny : – Non c’est pas possible !
Jack Slater : – Qu’est ce qui n’est pas possible ? Il est fantastique il n’a jamais été meilleur que dans ce film.
Danny : – Non mais dans ce film c’est toi qui joue c’est toi Terminator, c’est pas lui !
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