Célèbre pour ses mashups, Antonio Maria Da Silva dévoile un extrait de son nouveau projet, The Last of The Humans, un long-métrage animé.
Après Hell’s Club et ses suites qui réunissaient les personnages iconiques du septième art sur un même dance floor, The Carrie Mirror, The Psycho Mirror, Pulp Fiction, Heat à la sauce Sergio Leone, son hommage aux escaliers du Cuirassé Potemkine et son hommage au film de Chris Marker, La Jetée, Antonio Maria Da Silva a calmé tout le monde avec son dernier mashup en juin dernier, Shining The Overlook Hotel, qui élevait le mashup au rang d’œuvre d’art.
Depuis Antonio Maria Da Silva travaille sur un autre projet, un nouveau défi. En effet, si le cinéaste s’accorde une petite pause pour tout ce qui relève des mashups – et encore on le soupçonne de nous préparer quelque chose en secret – il développe son propre long-métrage d’animation. Cet été j’ai eu la chance de voir quelques extraits et d’en apprendre davantage sur le projet.
Intitulé The Last of The Humans, le long-métrage animé nous embarque dans le futur, en 2228 , après une énième guerre nuclaire qui a rendu la terre sterile et vide d’humain – ou presque – il y a juste quelques robots qui èrent sans but, sauf peut être TPT-13. TPT-13 est un robot qui découvre que la vie trouve toujours un chemin, mais un chasseur de férailles, robot lui aussi le recherche, TPT-13 ne sera pas au bout de ses surprises…
Antonio Maria Da Silva nous donne de plus amples informations sur l’histoire :
2078, la terre est ravagé par une guerre nucléaire, toutes vies a disparues ou presque.
2128, les robots et intelligence artificiels sont devenu «l’espèce » dominante sur terre. Il y a deux catégories de robots , les robots créé avant la guerre par les humains qu’on appelle (les déconnectés) et les robots créés par les robots après la guerre nucléaire qu’on appel (les connectés).
Sur le modèle humain ils ont créé leurs société mais adapté à leurs caractéristiques. Par exemple il y a l’électrise, une drogue qui ressemble à une décharge électrique et qu’il échanges comme de l’argent, etc… CRONOS est le gardien de cette civilisation et décide d’éliminer tous les robots créé par les hommes avant la guerre pour, selon lui, purifier la terre et repartir sur de nouvelles bases. CRONOS rêve d’une société parfaite. On appellera cette guerre « LA GUERRE DU RENOUVEAU ».
Ironie de la chose CRONOS étant lui même l’intelligence artificiel la plus ancienne, car créé de nos jours par des hommes, mais qui a évolué au fil des siècles. C’est un amas de câbles et de lumière qui ressemble vaguement à une tête.Dans cette guerre du renouveau, presque tous les anciens robots (les déconnectés) ont été éliminés, TPT-13 qui se fait appeler PAN, qui est de la génération (déconnecté) est laissé pour (mort) sur le champs de bataille, seul quelques groupes de déconnectés on réussi à survivre.
2228, l’histoire commence ici, ce qui précède est en flashback. 100 ans plus tard PAN se réveil dans un monde dévasté par les guerres, seul subsiste quelques mégapole de (connectés), CRONOS est toujours le gardien de cette société. PAN se réveil en ayant perdu la mémoire, seuls quelques bribes du passé lui reviennent, comme des flashs et notamment ce flash qui parle d’un endroit préservé des (connectés) ou la nature à repris ses droits. Ce lieu ce nome l’AVALON, il décide de chercher ce lieu mythologique et va vivre une aventure extraordinaire.
Ce qu’il ne sait pas encore c’est qu’il est recherché par EVOL, un chasseur de (ferrailles), c’est le nom que leurs donnent les connectés, ce chasseur a pour mission de trouver des déconnectés et de les détruire. Ce que PAN ne sait pas aussi c’est que CRONOS connait cette rumeur et fait tout pour trouver l’AVALON et le détruire. Et si PAN était malgré lui le robot qui les mènerais à l’AVALON.Dans cette aventure PAN va découvrir ce qui fait la richesse de notre monde, la musique, le cinéma, la peinture et surtout prendre conscience qui faut prendre soin de cette terre. plus globalement il va découvrir la vie tout simplement.
Ce qu’il va découvrir est au delà de ce qu’il imaginait… et si PAN était le sauveur que la terre attend ?
Antonio Maria Da Silva vient de dévoiler un premier extrait au public. Dans cette scène qui se passe à Noël, Le Héros « PAN » a fait d’un New York apocalyptique , sa maison pour queqlues temps dans l’histoire, il s’est installé dans un vieux diner. Il découvre les joies de l’hiver entre autre, il découvre ensuite quelques souvenirs dans les ruines d’un appartement.