Après la quasi-totale disparation de l’espèce humaine, dans un tribunal d’animaux, animé par l’excentrique juge MagiCJacK, un homme, David Carniste, choisi pour représenter l’humanité se fait juger pour les conséquences des actes de son espèce. S’engage alors un long procès où l’être humain est pour la première fois jugé par une autre espèce que la sienne.
Voila le pitch du nouveau court-métrage de Maxime Ginolin jeune auteur, compositeur et interprète dans lequel l’être humain est pour la première fois jugé – par son personnage MagiCJacK – sur trois sujets : la santé publique, l’environnement et l’éthique.
Sur le site de Maxime Ginolin on nous présente MagiCJacK comme compositeur et personnage fantastique qui évolue dans un univers cinématographique proche de l’esthétique de Tim Burton et l’ultra violence de Stanley Kubrick. MagicJacK est une combinaison de plusieurs personnages : le côté destructeur du Jocker, l’univers sombre et triste de “The Crow”, l’ultra violence d’Alex dans Orange Mécanique et l’idéologie corrosive et subversive de V pour Vendetta.