Je profite de cette chronique pour pousser un petit coup de gueule :
Que les broute-paillettes et autres starlettes d’un cinéma français moribond se retrouvent à Gérardmer est un sacré message envoyé au cinéma de genre – non seulement français mais aussi mondial. Ce message, nous l’avions déjà compris : Gérardmer n’est pas (plus ?) un festival de passions, mais de petits fours et d’auto-congratulation. Un festival de cinéma fantastique qui méprise le genre à ce point, a-t-on déjà vu cela ?
Maintenant cessez de vous payer sur le dos de la bête, restez chez vous, allez cachetonner ou faire du présentéisme dans les émissions basses de plafond que vous méritez. Mais surtout, surtout, lâchez nous le genre, et laissez nous vivre notre passion sans nous faire subir votre bêtise.