Disponible depuis le 25 janvier sur Netflix, Polar est un film réalisé par Jonas Akerlund.
C’est aussi une adaptation de la bande-dessinée de Victor Santos.
Verdict.
Netflix régale une fois de plus
Depuis l’année dernière, La plate-forme américaine est en forme.
Des productions comme Roma, Un bon apôtre, Outlaw The King, les séries Bodyguard, The Hauting of Hill House, ou encore Godless sont d’excellente qualité, proposant aux spectateurs une approche différente du long-métrage en salles.
Moins de censure, plus de liberté et de créativité.
A consommer avec ou sans modération
Polar ne déroge pas à la règle. Le film est ultra-violent, tout y passe.
Démembrements, gunfights, combats rapprochés, scènes de torture, tout en y ajoutant de l’hémoglobine et du sexe à outrance.
Le long-métrage se veut également cynique et drôle – beaucoup d’humour noir – dans la première partie, la seconde étant plus tendue et émotionnelle.
Et il y a bien sur Mads Mikkelsen.
Mad Mads Mikkelsen
L’acteur danois s’était fait remarquer dans Pusher 1 et 2 du réalisateur Nicolas Refn Winding – Drive c’est lui aussi – puis mondialement dans Casino Royale aux côtés de Daniel Craig et d’Eva Green.
Il jouit désormais d’une belle cote de popularité auprès du public.
C’est une gueule et une présence. Un vrai charisme qui transpire à l’écran.
Par ailleurs, si vous êtes fan de la licence vidéo-ludique Metal Gear Solid, sachez que le personnage qu’incarne Mads dans Polar ressemble beaucoup à Old Snake plus précisément celui du 4° opus.
Le bandeau sur l’œil gauche, toujours en train de fumer une cigarette, les cheveux gris, l’allure en général et surtout quelques scènes jouissives dont une qui rappelle la scène de torture dans MGS 3. Un beau cadeau pour les fans.
Polar ne doit pas se prendre au sérieux. C’est un cocktail survitaminé à la fois fun, décérébré, et décomplexé. Son acteur y est pour quelque chose. On en redemande.
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